Si le classico français OL–PSG (1-0) (lisez nos avant-match et grand format ci-dessous) a battu le record d’affluence (ndlr : 30 000 spectateurs) pour un match de D1 féminine, une autre rencontre a suscité les passions outre-Manche.
Londres à l’heure du football féminin
Londres est actuellement la ville la plus représentée au sein de l’élite, avec quatre clubs : Chelsea, West Ham, Arsenal et Tottenham. Ce week-end, le derby londonien Tottenham-Arsenal, a rassemblé plus de 38 000 spectateurs dans l’antre des Spurs lors de la dernière journée de FAWSL. Le champion en titre s’est imposé sur le score de deux buts à zéro dans une ambiance des grands soirs.
Un nouveau témoignage de l’engouement généré par le football féminin dans le pays qui sera hôte de l’Euro 2021. Pour rappel, la demi-finale de la dernière Coupe du Monde (Angleterre 1-2 USA), en juillet dernier, avait réuni près de 11.7 millions de téléspectateurs Britanniques.
Un championnat en plein essor
En pleine expansion ces dernières années, grâce notamment à la valorisation remarquée de sections féminines des grands clubs locaux (Manchester United, Tottenham, Everton, etc …), la FAWSL s’affirme désormais comme un championnat attrayant. L’arrivée récente de l’icône australienne Samantha Kerr et les nombreux mouvements de l’intersaison confirment cette dynamique favorable.
Une nouvelle preuve s’il en fallait que l’Angleterre est bel et bien un pays de football.